Nick Walker est un des pionniers du graffiti en Grande Bretagne. Travaillant à Bristol depuis plus de 20 ans, le travail de Nick, comme beaucoup de ses pairs, notamment Banksy, a évolué du graffiti conventionnel vers le stencil art (pochoirs).
Les oeuvres de Nick Walker comportent une bonne dose d’humour tordu, traitant des idoles avec une irrévérence rafraîchissante. La Joconde en prend particulièrement pour son grade, en étant métamorphosée en Marge Simpsons ou montrant ses fesses aux passants dans la rue.
“En 1992, j’ai commençé à combiner pochoirs et dessins à la main, ce qui m’a permis de juxtaposer des images quasi photographique avec le coté cru des dessins ayant évolué du graffiti conventionnel. Les pochoirs introduisent un élément d’impact à mon travail. Ce qui m’attire dans les pochoirs, c’est le fait de pouvoir prendre n’importe quelle image – un morceau de vie – et la recréer sur n’importe quelle surface. J’ai essayé de rajouter un élément d’humour ou d’ironie à certaines de mes oeuvres pour qu’elles soient moins lourdes, moins pesantes sur les murs. Pour moi, la peinture est une forme d’évasion du réel et si mon travail permet au spectateur d’en faire de même, alors j’aurai plus que réaliser mon objectif.”
Bonne visite !
Nick Walker is one of Britiain’s graffiti pioneers. Working out of Bristol for over twenty years, Nick’s work, like many of his peers, most notably Banksy, has moved away from conventional grafitti to stencil art.
Nick Walker‘s work employs a good deal of wry humour, treating iconic figures with a refreshing irreverence. The Mona Lisa in particular comes in for some stick – from being morphed into Marge Simpson to mooning the viewer.
“In 1992 I began to combine stencils with my freehand work which allowed me to juxtapose almost photographic imagery with the rawness which evolved from conventional graffiti styles. Stencils introduce an impact element to my work. The appeal of stencils is that they allow me to take an image from anywhere – dissect any part of life – and recreate it on any surface. I try to add an element of humor or irony to some paintings to add a little light relief to the walls. Painting is a form of escapism for me and if my work allows the spectator to do the same thing, then I’ve achieved more than I set out to do.”
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