La marque de Tokyo FilMelange, fondée au printemps 2007, vient de dévoiler le lookbook de sa prochaine collection Spring/Summer 2026. Celle-ci se compose de très belles pièces entièrement conçues au Japon: vestes, pullovers, sweatshirts, chemises, tee-shirts, pantalons, chaussures, accessoires, etc.
Dans Transcripts of a Sea (publié par les éditions belges Hannibal Books), Stephan Vanfleteren livre un hommage majestueux et intime à la mer, qu’il observe, affronte et interprète avec la patience d’un marin et la sensibilité d’un poète visuel. Pendant cinq ans, le photographe belge a sillonné les rivages, souvent immergé jusqu’à la taille, capturant l’eau sous toutes ses humeurs : calme comme un miroir, agitée comme une machine à laver en plein essorage, ou avalée par la brume. La mer n’est pas ici un décor, mais un être vivant, une présence silencieuse et puissante. Vanfleteren écrit lui-même : « La mer ne fait jamais la difficile. On n’a pas besoin de se justifier ou d’être poli. Je capte, j’interprète, je sublime, j’abstrais. » Ce livre réunit quelque 136 images d’une intensité rare, accompagnées de textes de Johan De Smet et Manfred Sellink, dans une mise en page ample et sobre qui laisse respirer les photographies. Chaque cliché devient une méditation sur la lumière, le temps, la mémoire. L’artiste ne se contente pas d’enregistrer la surface : il dialogue avec l’histoire de l’art, plaçant ses images en regard de la peinture marine, de Courbet à Spilliaert, d’Ensor à Turner. À travers cette correspondance visuelle, il explore la permanence du mystère maritime et l’éternelle fascination de l’homme pour l’horizon. Dans son « logbook », il note le vent, la marée, la phase de lune — comme un navigateur de l’image — et admet que la fidélité à la mer est impossible : chaque photo est un pacte avec l’imprévu. Objet d’art à part entière, le livre séduit par la qualité de son tirage, sa bichromie nuancée et sa couverture austère, presque monastique, qui reflète la rigueur et la poésie de son auteur. En écho à l’ouvrage, l’exposition Transcripts of a Sea se tient au Musée des Beaux-Arts de Gand (MSK) du 20 septembre 2025 au 4 janvier 2026. Elle présente les photographies de Vanfleteren en dialogue direct avec des toiles historiques issues de la collection du musée. Le visiteur y découvre la mer comme un langage universel, traversant les siècles et les médiums, du pinceau à l’objectif. Un voyage sensoriel et méditatif où l’on sort, un peu comme après une tempête, apaisé et songeur. Le livre de 292 pages est maintenant disponibles en trois versions (anglais/français/néerlandais) sur la boutique en ligne des éditions Hannibal Books.
La marque japonaise fondée en 1952 à Okayama JOHNBULL présente aujourd’hui un nouveau lookbook de son actuelle collection Fall/Winter 2025. Celle-ci puise son inspiration dans le workwear traditionnel et le military wear, et se compose de très belles pièces fabriquées au Japon: vestes. chemises, sweatshirts, tee-shirts, pantalons. jeans, etc.
Le label japonais Undecorated (anciennement Undecorated Man) nous dévoile aujourd’hui le lookbook de sa nouvelle collection Fall/Winter 2025 pour homme/femme. Celle-ci se compose de très belles pièces (vestes, chemises, pullovers, tee-shirts, pantalons, etc), toutes conçues au Japon.
Warobe, le label développé par la marque japonaise Trove, rend le vêtement traditionnel accessible dans la vie urbaine moderne — détendu, raffiné, mais ancré dans la culture japonaise. La marque dévoile aujourd’hui le lookbook de sa nouvelle collection Fall/Winter 2025. Celle-ci se compose de très belles pièces fabriquées au Japon: haori, kimono-gowns, yukata et jinbei, avec des coupes contemporaines et matériaux techniques.
Avec The Way Back, le photographe américain Bruce Davidson propose une œuvre à la fois rétrospective et introspective, qui s’impose comme une méditation sur la mémoire, le temps et la persistance du regard. Publié par les éditions allemandes Steidl, cet ouvrage réunit des images inédites ou rarement diffusées, issues de plus de six décennies de création. L’artiste y revisite les territoires et les figures qui ont marqué son parcours, tout en interrogeant le sens même de son engagement photographique. Davison, figure majeure du photojournalisme humaniste, connu pour ses séries emblématiques sur les adolescents de Brooklyn (Brooklyn Gang, 1959), le mouvement des droits civiques (Time of Change, 1961–65) ou le métro new-yorkais (Subway, 1980), adopte ici une démarche plus réflexive. The Way Back ne se présente pas comme une simple anthologie d’images, mais comme un retour sur l’expérience du regard : chaque photographie est accompagnée de notes et de fragments de mémoire, qui composent un récit visuel et textuel à la tonalité intime. L’écriture lumineuse du noir et blanc, caractéristique de Davidson, confère à cet ensemble une dimension presque méditative. Loin d’une nostalgie complaisante, le photographe explore la continuité du réel, la survivance des émotions et des visages. The Way Back se lit dès lors comme une œuvre de transmission – une réflexion sur la manière dont la photographie, en fixant le fugitif, permet de renouer avec l’humain. Le livre témoigne d’une maturité artistique rare : il incarne le cheminement d’un regardeur revenu sur ses traces pour mieux en saisir la portée universelle. L’ouvrage de 144 pages est maintenant disponible sur la boutique en ligne des éditions Steidl.
Le label japonais URU présente aujourd’hui le lookbook de sa nouvelle collection Fall/Winter 2025. Fondée à Tokyo en 2010 par le designer Masaru Urasakayama, la marque propose de très belles pièces unisexe pour cette saison: vestes, chemises, sweatshirts, pullovers, tee-shirts, pantalons, , etc.
Icône intemporelle du vestiaire casual, la Wallabee s’offre une nouvelle interprétation sous l’œil de la boutique taïwananaise INVINCIBLE. Fidèle à sa philosophie du détail et de la matière, elle revisite le mocassin culte de Clarks ORIGINALS à travers deux versions au charme contrasté : noir et taupe. Le modèle noir joue sur la sobriété du cuir nubuck associé à un cuir lisse d’une grande finesse, tandis que la déclinaison taupe mise sur un daim à poils longs et un cuir raffiné pour un rendu texturé et sophistiqué. Détail signature : un design volontairement asymétrique entre la chaussure gauche et la droite, clin d’œil à l’approche conceptuelle d’INVINCIBLE, où rien n’est laissé au hasard. Les logos des deux maisons, embossés sur le talon et la semelle intérieure, viennent sceller cette collaboration subtile entre tradition britannique et modernité asiatique. La paire, montée sur semelle Vibram, sera disponible en exclusivité sur la boutique en ligne d’INVINCIBLE, avant un lancement plus large le samedi 8 novembre dans les boutiques INVINCIBLE, une sélection de magasins Clarks ORIGINALS et en ligne.
La marque de Tokyo Omnigod dévoile aujourd’hui le lookbook de sa nouvelle collection Fall/Winter 2025 pour homme et femme. On y découvre une collection très réussie qui se compose de vestes, chemises, sweatshirts, tee-shirts, pantalons, jeans, accessoires, etc.
Les éditions Abrams Books publient une nouvelle édition du grand classique de la photographie américaine, In the American West, à l’occasion du 40ème anniversaire de la série. En 1979, Richard Avedon, célèbre pour ses portraits élégants de stars et de mannequins, décide de tourner le dos au monde de la mode. Pendant cinq ans, il traverse l’Ouest américain, appareil à la main, à la recherche d’un autre visage du pays. De 1979 à 1984, il photographie des travailleurs, des fermiers, des mineurs, des adolescents en errance. Loin des studios et des flashs, il installe un simple fond blanc, un dispositif minimaliste qui efface le décor pour ne garder que l’essentiel : le visage. Chaque portrait est frontal, précis, sans artifice. Le noir et blanc, d’une intensité presque clinique, met en lumière les marques du travail, de la fatigue, du temps. Avedon cherche la vérité brute, celle que la photographie de mode dissimule. Il ne s’agit plus d’idéaliser, mais de révéler. Ses modèles, souvent anonymes, incarnent une autre Amérique : celle des oubliés du rêve national. La série, exposée en 1985 au Amon Carter Museum de Fort Worth, provoque un débat passionné. Certains reprochent au photographe d’esthétiser la misère, d’autres saluent la puissance de son regard. Le projet rompt avec les codes de la photographie documentaire classique : ici, la neutralité du fond transforme chaque individu en icône. Avedon ne photographie pas « l’Ouest » au sens géographique, mais l’Ouest comme métaphore d’une humanité en marge. Chaque image devient un face-à-face troublant entre le photographe et son sujet. On y lit la dignité, la lassitude, parfois la défiance. In the American West révèle aussi un tournant dans l’œuvre d’Avedon : l’artiste du paraître devient témoin du réel. Ce livre, publié pour la première fois en 1985, reste une référence majeure de la photographie contemporaine. Il interroge la frontière entre art, reportage et portrait psychologique. Quarante ans après, ces visages continuent de hanter le regard. Leur force réside dans leur silence : une parole muette sur l’Amérique des marges. Avec In the American West, Avedon a fait tomber le masque du rêve américain — et ouvert un chapitre essentiel de la photographie moderne. Le livre de 174 pages est maintenant disponible sur la boutique en ligne des éditions Abrams Books.
La marque japonaise Superthanks vient de présenter le lookbook de sa nouvelle collection Fall/Winter 2025. Celle-ci se compose de vestes, hoodies, pullovers, pantalons, etc.
NexusVII vient de présenter le lookbook de sa nouvelle collection Fall/Winter 2025. On découvre cette saison de nouvelles pièces conçues par le label japonais: vestes, sweatshirts, pantalons, accessoires, etc.