La jeune marque japonaise Superthanks vient de présenter le lookbook de sa nouvelle collection Fall/Winter 2017.
La jeune marque japonaise Superthanks vient de présenter le lookbook de sa nouvelle collection Fall/Winter 2017.
L’excellent label japonais Kaptain Sunshine dévoile aujourd’hui le lookbook de sa prochaine collection Fall/Winter 2017. On y découvre une ligne une fois de plus inspirée par l’esthétique vintage américaine, avec de très belles pièces, toutes fabriquées au Japon: vestes, chemises, pantalons, pullovers, cardigans, bonnets, casquettes, etc.
“Si vos photos ne sont pas assez bonnes, c’est que vous n’êtes pas assez près” disait Robert Capa, co-fondateur de Magnum. Le magazine The Picture Post du 3 décembre 1938, le décrivait comme « le plus grand photographe de guerre du monde », alors qu’il n’avait que 25 ans. Sa maxime est devenue aussi célèbre que son travail, qui continue d’influencer des générations de photographes. Dans le cadre de la Square Print Sale 2017, Magnum Photos revisite la phrase de Capa et se penche sur ce que signifie «être proche». Ce projet s’inscrit dans un cycle de quatre Square Print Sales qui coïncident avec les 70 ans de l’agence, et qui explorent l’héritage des quatre co-fondateurs de Magnum, Henri Cartier-Bresson, Robert Capa, David ‘Chim’ Seymour et George Rodger, ainsi que l’influence que leur travail continue encore d’exercer sur la photographie d’aujourd’hui. Au travers d’images accompagnées de textes, les photographes de Magnum explorent les re-définitions du thème Closer, « au plus près ». Leurs pratiques sont classiques ou contemporaines, et leurs images dévoilent des moments décisifs de l’Histoire comme l’homme face aux tanks de Tiananmen Square de Stuart Franklin (1989), la série Jour-J de Robert Capa (1944), le reportage sur la révolution iranienne d’Abbas (1979), ainsi que des photos de maîtres du photo journalisme contemporain comme Matt Black, Paolo Pellegrin, Diana Markosian et Lorenzo Meloni. Martin Parr re-définit ce que signifie pour lui d’être au plus près de son sujet, utilisant son objectif pour s’en rapprocher, alors que d’autres photographes identifient la proximité comme une forme d’intimité et proposent des travaux très personnels, comme Larry Towell, Antoine d’Agata, Alessandra Sanguinetti ou encore Christopher Anderson pour mettre leurs sujets en exergue. Le lien entre proximité et photographie de rue est aussi exploré avec une image de la série Subway de Bruce Davidson, ou encore, une image iconique d’Alex Webb issue de son travail sur le Mexique. David Hurn, quant à lui, se souvient de s’être rapproché des Beatles sur le tournage de A Hard Day Night. Plus de 70 images accompagnées de textes personnels sont maintenant disponibles en ligne au prix unitaire de 100$ par tirage dédicacé (format 15,2cm x 15,2cm), et ce jusqu’au vendredi 9 juin 18h EST.
La marque japonaise Scye vient de dévoiler le lookbook de sa nouvelle collection Fall/Winter 2017. Cette dernière se compose de vestes, pullovers, hoodies, chemises, pantalons, etc.
La galerie HVW8 (Los Angeles) accueille depuis le 19 mai dernier la nouvelle exposition personnelle de Mark Gonzales, Fower Plower. L’artiste new-yorkais y présente une série de nouvelles toiles colorées où l’on retrouve notamment son personnage emblématique Shmoo. Inspirées par le travail de Paul Klee et Donald Baechler, ses nouvelles œuvres sont à la fois lumineuses, amusantes et pleines de vie. Jusqu’au 20 juin 2017.
“Lors de la dernière décennie, une nouvelle génération de photographes a dirigé l’approche documentaire vers des fins plus personnelles. Leur but n’a pas été de réformer la vie mais plutôt de la connaître. Leur travail trahit une sympathie – quasiment une affection – envers les imperfections et les fragilités de la société”. Voici comment John Szarkowski, alors conservateur du département de photographie du MoMA, décrit le travail de Diane Arbus, Lee Friedlander et Garry Winogrand à l’occasion de l’exposition New Documents en 1967. Chacun des trois photographes y aborde la réalité de façon frontale, sans chercher à la transfigurer. Dépassant le débat entre art et document, Szarkowski fait entrer définitivement le style documentaire au musée. À l’époque, la réception est tiède. Et pourtant, leur travail se révélera décisif pour plusieurs générations de photographes. Jusqu’à présent, il n’existait aucun catalogue de cette exposition culte. Publié par le MoMA a l’occasion du 50ème anniversaire de l’exposition, New Documents, 1967 présente des reproductions en pleine page des 94 photographies de l’exposition, ainsi que le texte original du panneau d’introduction à l’exposition rédigé par Szarkowski, le communiqué de presse, les vues d’installation et de nombreux documents d’archives. Les essais de la conservatrice Sarah Hermanson Meister et du critique Max Kozloff, qui a d’abord passé en revue l’exposition pour l’hebdomadaire américain The Nation en 1967, permettent de situer de manière critique l’exposition et son accueil et examinent son influence durable sur le domaine de la photographie. L’ouvrage de 168 pages est maintenant disponible sur la boutique en ligne du MoMA, ainsi que sur Amazon.com.
Le designer japonais Yosuke Kimura présente aujourd’hui le lookbook de la prochaine collection Fall/Winter 2017 de son label Bankrobber.
Pour sa nouvelle collection Spring/Summer 2017 (voir le lookbook ici), Neighborhood a fait appel à la marque de sandales Teva pour réaliser une version exclusive de la Terra-Float Universal 2.0. Cette dernière sera disponible au Japon à partir du 3 juin 2017. Disponible en ligne chez End Clothing.
Visvim propose cette saison une nouvelle version de la Beard Boots-Folk. La paire est conçue en suède premium d’origine britannique avec une semelle en gomme Dainite cousue Goodyear. Deux nouveaux coloris (camel, black) sont maintenant disponibles sur l’e-store de la marque.
À l’occasion de l’exposition Framed and Frame à la galerie londonienne Hauser & Wirth il y a quelques mois, un catalogue inédit présentant toutes les œuvres de la série Memory Ware de Mike Kelley (1954-2012) a été publié. Cette série s’inspire de traditions d’art populaire dans les communautés noires du sud des États-Unis et de l’époque victorienne au Royaume-Uni, et se compose de pièces conçues à partir d’un bric à brac de bibelots récoltés dans les puces de toute l’Amérique. L’artiste plasticien américain s’est servi de bijoux, de montres, de coquillages, de perles et de boutons de peu de valeur pour fabriquer ses célèbres œuvres Memory Ware. En Amérique du Nord, un memory ware est une pièce de vaisselle sur lequel sont collés toute une bimbeloterie ou des tessons de céramique en souvenir d’une personne disparue. L’artiste californien est préoccupé par ces questions liées à la mémoire individuelle. Fasciné par ces objets dont personne ne semble vouloir, il explique en 2000: « Je n’aime pas du tout Internet, qui n’existe que dans un espace virtuel. Alors que les objets vous attirent dans le monde physique, ils vous font prendre conscience de votre dimension matérielle. Leur sensualité vous fait dépendre d’eux. Ils sont addictifs. » Par le recours à des matériaux nobles comme à des objets de récupération et grâce à un langage plastique qui lui est propre, Mike Kelley réussit avec humour à briser la hiérarchie qui sépare la culture populaire de la culture de “l’élite“ afin de mettre à bas le mythe d’une “haute“ culture réservée à quelques personnes capable de l’apprécier. Un essai de Ralph Rugoff, directeur de la Hayward Gallery de Londres, examine la place de la mémoire personnelle et collective dans l’œuvre de l’artiste, ainsi que la lecture de la série Memory Ware dans sa totalité, tant du point de vue visuel que du point de vue de l’histoire de l’art. L’essai original de Kelley sur le projet est réimprimé dans son intégralité et offre un aperçu sans ambiguïté de sa réflexion et de sa méthodologie. L’ouvrage de 252 pages offre ainsi la possibilité d’apprécier la série de l’artiste dans son ensemble. Il est maintenant disponible sur le site de la galerie Hauser & Wirth et sur Amazon.com.
Visvim sort cette saison une nouvelle version de sa Brigadier Boots Mid-Folk. La paire est à nouveau conçue en suède premium d’origine suédoise avec une semelle en gomme Dainite cousue Goodyear. Quatre nouveaux coloris (light brown, brown, dark brown, black) sont maintenant disponibles sur l’e-store de la marque.
Carhartt WIP collabore cette saison avec Converse pour réaliser trois versions exclusives de la Chuck Taylor All Star ’70s. Trois matériaux sont ainsi proposés: le coutil, la toile, et le ripstop. Les paires seront disponibles à partir du 1er juin sur la boutique en ligne des deux labels ainsi que dans certains magasins.